Mise à la terre, LEL et LEP

Les terres :
Chaque départ du tableau doit comporter un fil de terre de section égale à celle de la plus grosse section des conducteurs actifs de la canalisation. On doit donc retrouver une terre à chaque prise, à chaque point lumineux et à chaque appareillage, VMC par exemple... Dans le cas d’appareille de classe II, la terre doit être présente mais pas raccordée. 

	SPOT de CLASSE II		Socle d’un hublot étanche classe II
	Socle d’une DCL

La ou les LEP :

	La liaison équipotentielle locale relie à la terre les entrées d’énergie diverses, les conduites principales, c'est-à-dire, l’arrivée d’eau, de gaz. L’allé et le retour de chauffage de la chaudière. Le mieux est de la réaliser en 16 mm² et de maintenir le câble dessus par des colliers de mises à la terre (conseillé) ou des colliers type SERFLEX, NORMA...
	Mise à la terre du sèche serviette.
	Mise à la terre de la conduite.
	Les terres sont bien doublées.
	Mise à la terre de la porte coupe feu métallique proche de la douche du sous-sol.
	Mise à la terre des conduites d’eau qui alimentent les mitigeurs du meuble de salle de bain. Les vis des colliers SERFLEX sont brassées, le printemps arrive, on a toujours besoin de SERFLEX pour les tuyaux d’arrosage...

La ou les LEL :

La liaison équipotentielle locale consiste à mettre à la terre tous les éléments métalliques d’une salle de bain : tuyauterie, porte, fenêtre, radiateurs...
Pour cette installation un conducteur de 2,5 mm² venant du tableau est utilisé. Elle doit relier les prises et les points lumineaux de la pièce, le tout centralisé dans une boite de dérivation.

Mise à la terre des conduites de la baignoire. Le conducteur en attente à droite de la photo servira a relier les pieds de la baignoire s'ils sont métalliques.

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